Poussée vers le changement
Plus tôt cette semaine, la National Allied Golf Association (NAGA) — dont le chef de la direction de la PGA du Canada, Gary Bernard, est président— était en vedette dans l’un des journaux les plus lus dans le monde.
Le 3 janvier, un article intitulé, “Canadians Push to Make Golf Tax Deductible” a été publié sur le site Web du Wall Street Journal. En moyenne, on estime que le journal et son site Web sont lus par 2.3 millions de personnes chaque jour.
“C’est une publicité incroyable pour la NAGA,” souligne Bernard. “De plus en plus de personnes sont au courant de nos pressions pour accroître la sensibilisation des gens par rapport à un système de taxation dépassé qui ne permet pas que les droits de jeu soient déduits lors d’activités de golf liées aux affaires au Canada.”
La Campagne de sensibilisation de la NAGA a été lancée à l’occasion des journées provinciales de lobbying au Québec, à l’île du Prince-Édouard, en Alberta, en Ontario, au Manitoba et en Colombie Britannique. En juin, une journée fédérale du lobbying a été organisée dans la capitale nationale. En novembre dernier, Bernard était à Ottawa dans le cadre de cette campagne et a eu l’occasion de rencontrer Bal Gosal, ministre d’État (Sport). Il a également eu l’occasion de mettre en lumière l’impact du golf sur l’économie canadienne, les taux de participation, les parcours de golf comme éléments environnementaux et le traitement injuste infligé au golf par le système de taxation canadien, à l’occasion d’un dîner sur la colline parlementaire pendant le caucus fédéral de golf.
La campagne a été reconnue par la société canadienne des cadres d’association comme la meilleure campagne de relations gouvernementales de l’année, couronnée par le prix Make a Better Canada.
L’auteur de l’article, Paul Vieira, indiquait dans le deuxième paragraphe: “Depuis 1971, les canadiens ne peuvent déduire les droits de jeu lors d’activités de golf liées aux affaires. Les compagnies canadiennes et les hommes d’affaires peuvent déduire les billets de hockey ou d’autres événements sportifs professionnels, les billets de théâtre et de concert, ainsi que le montant de repas coûteux dans de grands restaurants, tant que ces derniers sont liés à leurs affaires. Mais déduire les dépenses liées à la tenue d’un tournoi de golf— une mesure du code de taxation permise au sud de la frontière, aux États-Unis— est interdit ici.”
Viera écrivait ensuite, “Un caucus d’environ deux douzaines de parlementaires de toutes les allégeances politiques tente présentement de persuader le ministre des finances canadien, Jim Flaherty, lui-même un golfeur occasionnel, de rejeter cette vieille loi — introduite à une époque où les politiciens voyaient encore le golf comme un sport d’élite. De nos jours, le golf est l’activité récréative la plus populaire au pays, devançant même le passe-temps national qu’est le hockey, selon l’agence statistique du pays.”
Le caucus fédéral de golf a été formé en résultante directe de la journée fédérale de sensibilisation de la NAGA tenue en juin l’année dernière. Le caucus de golf est le premier du genre et il n’y a présentement aucun autre caucus fédéral dédié à la cause d’un sport individuel au Canada.
Le caucus tente de faire adopter les changements au code de taxation pour la présentation du budget fédéral 2012.
La NAGA regroupe sept associations canadiennes de golf— la PGA du Canada; la Société canadienne des directeurs de clubs; l’Association canadienne des surintendants de golf; le circuit professionnel canadien; Golf Canada et l’Association nationale des propriétaires de terrains de golf ainsi que l’Association canadienne de l’industrie du golf.
Pour de plus amples informations concernant la NAGA, visitez le site canadagolfs.ca
Le 3 janvier, un article intitulé, “Canadians Push to Make Golf Tax Deductible” a été publié sur le site Web du Wall Street Journal. En moyenne, on estime que le journal et son site Web sont lus par 2.3 millions de personnes chaque jour.
“C’est une publicité incroyable pour la NAGA,” souligne Bernard. “De plus en plus de personnes sont au courant de nos pressions pour accroître la sensibilisation des gens par rapport à un système de taxation dépassé qui ne permet pas que les droits de jeu soient déduits lors d’activités de golf liées aux affaires au Canada.”
La Campagne de sensibilisation de la NAGA a été lancée à l’occasion des journées provinciales de lobbying au Québec, à l’île du Prince-Édouard, en Alberta, en Ontario, au Manitoba et en Colombie Britannique. En juin, une journée fédérale du lobbying a été organisée dans la capitale nationale. En novembre dernier, Bernard était à Ottawa dans le cadre de cette campagne et a eu l’occasion de rencontrer Bal Gosal, ministre d’État (Sport). Il a également eu l’occasion de mettre en lumière l’impact du golf sur l’économie canadienne, les taux de participation, les parcours de golf comme éléments environnementaux et le traitement injuste infligé au golf par le système de taxation canadien, à l’occasion d’un dîner sur la colline parlementaire pendant le caucus fédéral de golf.
La campagne a été reconnue par la société canadienne des cadres d’association comme la meilleure campagne de relations gouvernementales de l’année, couronnée par le prix Make a Better Canada.
L’auteur de l’article, Paul Vieira, indiquait dans le deuxième paragraphe: “Depuis 1971, les canadiens ne peuvent déduire les droits de jeu lors d’activités de golf liées aux affaires. Les compagnies canadiennes et les hommes d’affaires peuvent déduire les billets de hockey ou d’autres événements sportifs professionnels, les billets de théâtre et de concert, ainsi que le montant de repas coûteux dans de grands restaurants, tant que ces derniers sont liés à leurs affaires. Mais déduire les dépenses liées à la tenue d’un tournoi de golf— une mesure du code de taxation permise au sud de la frontière, aux États-Unis— est interdit ici.”
Viera écrivait ensuite, “Un caucus d’environ deux douzaines de parlementaires de toutes les allégeances politiques tente présentement de persuader le ministre des finances canadien, Jim Flaherty, lui-même un golfeur occasionnel, de rejeter cette vieille loi — introduite à une époque où les politiciens voyaient encore le golf comme un sport d’élite. De nos jours, le golf est l’activité récréative la plus populaire au pays, devançant même le passe-temps national qu’est le hockey, selon l’agence statistique du pays.”
Le caucus fédéral de golf a été formé en résultante directe de la journée fédérale de sensibilisation de la NAGA tenue en juin l’année dernière. Le caucus de golf est le premier du genre et il n’y a présentement aucun autre caucus fédéral dédié à la cause d’un sport individuel au Canada.
Le caucus tente de faire adopter les changements au code de taxation pour la présentation du budget fédéral 2012.
La NAGA regroupe sept associations canadiennes de golf— la PGA du Canada; la Société canadienne des directeurs de clubs; l’Association canadienne des surintendants de golf; le circuit professionnel canadien; Golf Canada et l’Association nationale des propriétaires de terrains de golf ainsi que l’Association canadienne de l’industrie du golf.
Pour de plus amples informations concernant la NAGA, visitez le site canadagolfs.ca