L’industrie du golf demande l’équité fiscale pour le sport préféré du Canada
Aujourd’hui, l’Alliance nationale des associations de golf (NAGA) a amené des représentants de l’industrie du golf au Parlement afin de défendre les intérêts du golf, le sport préféré du Canada, sur le plan de l’équité fiscale. La NAGA a également publié l’étude très attendue sur l’impact économique du golf, une industrie canadienne de 14 milliards de dollars. Ce document brosse l’image d’un secteur très large relevant de sérieux défis à la lumière du climat économique et législatif actuel.
« Le Canada est un pays de golfeurs » a affirmé Jeff Calderwood, porte-parole de la NAGA. « On estime à 5,7 millions le nombre de golfeurs canadiens et on compte 2 300 terrains de golf et terrains d’exercice au Canada. C’est le sport préféré du pays. Le nombre de golfeurs au Canada dépasse même le nombre de joueurs de hockey, et l’industrie contribue annuellement plus de 14 milliards de dollars à l’économie canadienne. »
« Malheureusement, l’industrie du golf au Canada souffre d’une politique fiscale vieillie de 40 ans, laquelle vise particulièrement les entreprises de golf de façon inéquitable », a ajouté M. Calderwood. « Nous sommes à Ottawa aujourd’hui pour demander au gouvernement fédéral de corriger cette injustice et de rétablir l’équité fiscale pour l’industrie canadienne du golf. »
En raison d’une réforme fiscale de 1971, l’Agence du revenu du Canada n’admet aucune déduction fiscale liée aux dépenses de gens d’affaires engagées alors qu’ils divertissent des clients au golf. Selon les exploitants des 2 300 terrains de golf au Canada, dont la plupart sont de petites entreprises, ils ne peuvent faire concurrence de façon raisonnable à toutes les autres industries pour lesquelles l’ARC reconnaît le divertissement des clients. Au fil des années, l’injustice de cette discrimination envers l’industrie du golf a pris de plus en plus d’importance.
« Aux yeux des 2 300 exploitants de terrains de golf du Canada, qui doivent affronter le marché le plus concurrentiel de l’histoire de notre industrie, cette législation fiscale injuste n’est plus un désavantage tolérable. La NAGA et ses associations membres demandent au gouvernement fédéral de mettre fin à cette niche fiscale et d’établir une équité fiscale pour l’industrie canadienne du golf » a conclu M. Calderwood.
« Le Canada est un pays de golfeurs » a affirmé Jeff Calderwood, porte-parole de la NAGA. « On estime à 5,7 millions le nombre de golfeurs canadiens et on compte 2 300 terrains de golf et terrains d’exercice au Canada. C’est le sport préféré du pays. Le nombre de golfeurs au Canada dépasse même le nombre de joueurs de hockey, et l’industrie contribue annuellement plus de 14 milliards de dollars à l’économie canadienne. »
« Malheureusement, l’industrie du golf au Canada souffre d’une politique fiscale vieillie de 40 ans, laquelle vise particulièrement les entreprises de golf de façon inéquitable », a ajouté M. Calderwood. « Nous sommes à Ottawa aujourd’hui pour demander au gouvernement fédéral de corriger cette injustice et de rétablir l’équité fiscale pour l’industrie canadienne du golf. »
En raison d’une réforme fiscale de 1971, l’Agence du revenu du Canada n’admet aucune déduction fiscale liée aux dépenses de gens d’affaires engagées alors qu’ils divertissent des clients au golf. Selon les exploitants des 2 300 terrains de golf au Canada, dont la plupart sont de petites entreprises, ils ne peuvent faire concurrence de façon raisonnable à toutes les autres industries pour lesquelles l’ARC reconnaît le divertissement des clients. Au fil des années, l’injustice de cette discrimination envers l’industrie du golf a pris de plus en plus d’importance.
« Aux yeux des 2 300 exploitants de terrains de golf du Canada, qui doivent affronter le marché le plus concurrentiel de l’histoire de notre industrie, cette législation fiscale injuste n’est plus un désavantage tolérable. La NAGA et ses associations membres demandent au gouvernement fédéral de mettre fin à cette niche fiscale et d’établir une équité fiscale pour l’industrie canadienne du golf » a conclu M. Calderwood.