Apprendre des légendes
De temps à autre, vous entendez l’histoire d’une personne dont la vie a été dramatiquement changée par une simple rencontre fortuite. Michael Bublé présenté au producteur vainqueur d’un prix Grammy, David Foster, à l’occasion du mariage de la fille de Brian Mulroney, Caroline. Jessica Stamm découverte par une agence de mannequins dans un Tim Hortons de Barrie, Ont. Paul Horton jouant avec l’illustre George Knudson au National Golf Club of Canada à l’été1980.
Aujourd’hui, Paul Horton est professionnel enseignant en titre au Heritage Pointe Golf Club de DeWinton, Alberta. tout juste au sud de Calgary. Il est membre de la PGA du Canada depuis plus de 30 ans et professionnel Classe ‘’A’’ depuis 1985.
Mais en 1980, il n’était qu’un jeune de 20 ans avec une bonne joute de golf, un peu de monnaie dans ses poches et le désir de jouer du golf collégial en Arkansas.
“J’avais 20 ans à l’époque et je souhaitais aller en Arkansas,” se rappelle Horton. “ Mais juste avant de partir, j’ai entendu parler de l’école de golf que George (Knudson) mettait sur pied au National. J’ai réussi à amasser un peu d’argent pour aller le voir pendant une semaine.”
Horton n’est jamais allé en Arkansas.
Il est plutôt demeuré au nord de la frontière et s’est formé comme enseignant de golf avec Knudson comme mentor.
“Dans mes premières années d’enseignement, je ne jurais que par Knudson,” admet Horton. “Ses principes de base sont encore bien ancrés dans le ciment.”
Et ne croyez pas une minute que Horton soit ironique, quand il sourit à la pensée de recevoir le prix George Knudson 2011 enseignant de l’année.
“Je souris quand je pense au fait que je vais recevoir le prix national portant le nom de George.”
Le premier emploi de Horton à titre de membre de la PGA du Canada l’a amenée au Summit Golf & Country Club de Richmond Hill, Ont. Alors qu’il était sur le parcours conçu par Stanley Thompson, il a eu l’occasion d’étudier attentivement l’élan du plus grand ayant jamais vécu—Moe Norman.
“Dans les années 80, alors que je travaillais au Summit, Moe frappait des tonnes de balles au terrain exercice,” se souvient Horton. “j’y prêtais grande attention et je discutais avec lui de temps à autre.”
Mais alors que Knudson et Norman enseignait l’élan de golf comme une ‘méthode,’ Horton l’aborde d’une manière un peu différente que ces deux membres du temple de la renommée.
“Je n’enseigne pas véritablement une méthode, j’enseigne plutôt au joueur,” précise-t-il. “Plusieurs personnes ont une mauvaise conception de l’élan de golf et c’est mon travail de corriger ses allusions.”
Bien que les stratégies de Horton et Knudson diffèrent, ils partagent un plaisir de travailler avec un certain type de personne — le type de personne qui s’investit à 100 % pour s’améliorer au golf.
“C’est beaucoup plus intéressant d’enseigner à des gens qui s’engagent dans un processus pour améliorer leur jeu,” mentionne Horton.
Au Heritage Pointe, Horton dit qu’il travaille principalement avec les joueurs juniors de niveau élitte et compétition, mais qu’il donne également un coup de main aux adultes qui veulent réduire leur handicap de moitié. Il insiste sur le fait qu’il apprécie voir les gens s’améliorer.
Peu importe avec qui il travaille — qu’il s’agisse d’un junior désirant gagner un titre provincial ou d’un joueur classe “C” qui veut atteindre la classe “A” en août — Horton transmet le même message: “Contrôle ton jeu, pas seulement ton élan.”
“ J’ai délaissé un peu le perfectionnement de l’élan de quelqu’un pour plutôt me concentrer sur le fait de l’amener à mieux jouer,” souligne Horton. “C’est pourquoi les leçons en jouant sont devenues très importantes pour moi parce que cela me donne la chance de vraiment voir la personne, de la disputer un peu et de la rendre plus forte,” admet-t-il candidement en ajoutant, “De cette façon, le joueur est mieux préparé à toutes les situations qui surviennent quand la pression entre en ligne de compte.”
Malgré un hiver exceptionnellement chaud à Calgary, Heritage Pointe est fermé et Horton ne poursuit, de toute évidence, personne sur le terrain de golf. Il fait plutôt ce que plusieurs professionnels font à cette période de l’année — planifier et voyager.
“Nous avons récemment acheté une maison à Scottsdale et je songe à l’idée d’ouvrir une école pour les joueurs junior élite,” mentionne-t-il. “Ils seraient en classe le matin et au golf en après-midi.”
C’est curieux de voir comment les choses aboutissent quand on voit Horton dirigeant maintenant les écoles de golf pour de jeunes golfeurs talentueux. Qui sait les histoires qui surgiront dans 30 ans à propos de Paul Horton, source d’inspiration pour de jeunes joueurs.
Aujourd’hui, Paul Horton est professionnel enseignant en titre au Heritage Pointe Golf Club de DeWinton, Alberta. tout juste au sud de Calgary. Il est membre de la PGA du Canada depuis plus de 30 ans et professionnel Classe ‘’A’’ depuis 1985.
Mais en 1980, il n’était qu’un jeune de 20 ans avec une bonne joute de golf, un peu de monnaie dans ses poches et le désir de jouer du golf collégial en Arkansas.
“J’avais 20 ans à l’époque et je souhaitais aller en Arkansas,” se rappelle Horton. “ Mais juste avant de partir, j’ai entendu parler de l’école de golf que George (Knudson) mettait sur pied au National. J’ai réussi à amasser un peu d’argent pour aller le voir pendant une semaine.”
Horton n’est jamais allé en Arkansas.
Il est plutôt demeuré au nord de la frontière et s’est formé comme enseignant de golf avec Knudson comme mentor.
“Dans mes premières années d’enseignement, je ne jurais que par Knudson,” admet Horton. “Ses principes de base sont encore bien ancrés dans le ciment.”
Et ne croyez pas une minute que Horton soit ironique, quand il sourit à la pensée de recevoir le prix George Knudson 2011 enseignant de l’année.
“Je souris quand je pense au fait que je vais recevoir le prix national portant le nom de George.”
Le premier emploi de Horton à titre de membre de la PGA du Canada l’a amenée au Summit Golf & Country Club de Richmond Hill, Ont. Alors qu’il était sur le parcours conçu par Stanley Thompson, il a eu l’occasion d’étudier attentivement l’élan du plus grand ayant jamais vécu—Moe Norman.
“Dans les années 80, alors que je travaillais au Summit, Moe frappait des tonnes de balles au terrain exercice,” se souvient Horton. “j’y prêtais grande attention et je discutais avec lui de temps à autre.”
Mais alors que Knudson et Norman enseignait l’élan de golf comme une ‘méthode,’ Horton l’aborde d’une manière un peu différente que ces deux membres du temple de la renommée.
“Je n’enseigne pas véritablement une méthode, j’enseigne plutôt au joueur,” précise-t-il. “Plusieurs personnes ont une mauvaise conception de l’élan de golf et c’est mon travail de corriger ses allusions.”
Bien que les stratégies de Horton et Knudson diffèrent, ils partagent un plaisir de travailler avec un certain type de personne — le type de personne qui s’investit à 100 % pour s’améliorer au golf.
“C’est beaucoup plus intéressant d’enseigner à des gens qui s’engagent dans un processus pour améliorer leur jeu,” mentionne Horton.
Au Heritage Pointe, Horton dit qu’il travaille principalement avec les joueurs juniors de niveau élitte et compétition, mais qu’il donne également un coup de main aux adultes qui veulent réduire leur handicap de moitié. Il insiste sur le fait qu’il apprécie voir les gens s’améliorer.
Peu importe avec qui il travaille — qu’il s’agisse d’un junior désirant gagner un titre provincial ou d’un joueur classe “C” qui veut atteindre la classe “A” en août — Horton transmet le même message: “Contrôle ton jeu, pas seulement ton élan.”
“ J’ai délaissé un peu le perfectionnement de l’élan de quelqu’un pour plutôt me concentrer sur le fait de l’amener à mieux jouer,” souligne Horton. “C’est pourquoi les leçons en jouant sont devenues très importantes pour moi parce que cela me donne la chance de vraiment voir la personne, de la disputer un peu et de la rendre plus forte,” admet-t-il candidement en ajoutant, “De cette façon, le joueur est mieux préparé à toutes les situations qui surviennent quand la pression entre en ligne de compte.”
Malgré un hiver exceptionnellement chaud à Calgary, Heritage Pointe est fermé et Horton ne poursuit, de toute évidence, personne sur le terrain de golf. Il fait plutôt ce que plusieurs professionnels font à cette période de l’année — planifier et voyager.
“Nous avons récemment acheté une maison à Scottsdale et je songe à l’idée d’ouvrir une école pour les joueurs junior élite,” mentionne-t-il. “Ils seraient en classe le matin et au golf en après-midi.”
C’est curieux de voir comment les choses aboutissent quand on voit Horton dirigeant maintenant les écoles de golf pour de jeunes golfeurs talentueux. Qui sait les histoires qui surgiront dans 30 ans à propos de Paul Horton, source d’inspiration pour de jeunes joueurs.